Assigny. Petit village paisible du Cher, où 174 âmes vivaient paisiblement. Parmi elles, Juan et François, tenanciers d'un établissement nommé "la Fistinière", où adeptes du "fist-fucking" se retrouvent pour un excellent moment entre amis.
Mais, lundi dernier, Juan et François ont reçu un appel téléphonique, qu'ils identifièrent comme étant une menace directe de l'Etat Islamique.
"J'étais stupéfié", raconte Juan, encore sous le choc. "J'avais beaucoup de mal à comprendre ce que cet homme me disait; sa voix était modifiée et il avait un fort accent oriental". François témoigne également : "Juan m'a remis le téléphone. J'ai immédiatement compris que nous avions affaire à l'Etat Islamique; ceux-ci nous ont insultés et menacés, criant au blasphème. Tout ça parce que le nom de notre Chapelle Fistine, l'endroit où nous pratiquons nos hobbys en toute quiétude, les dégoûte."
La réaction de l'Eglise Catholique, face à cette situation, ne fut pas des plus favorables à la cause de Juan et François. Celle-ci, étant dès lors au courant de la dénomination de ladite chapelle, ne préféra pas intervenir.
"Même Dieu nous a abandonnés", témoigne Juan. "Nous n'avions d'autre choix que de rebaptiser la Chapelle Fistine. Sous la pression de l'Etat Islamique, nous avons désormais nommé cet endroit "la salle à Fist", en espérant que l'Etat d'Israël ne nous tombe pas dessus".
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nHC55GpmtAo
Par Y. Kalnins