Lors des fêtes de fin d'année, un information pourtant capitale est passée inaperçue du grand public. Pourtant, c'est une découverte scientifique majeur qui pourrait changer grandement notre vision de la physiologie humaine et remettrait en cause énormément de dogmes dont nous avons pu croire jusqu'ici.
Si vous avez déjà frotté un ballon de baudruche dans vos cheveux, vous aurez pu observer le fait que de l’électricité statique soit générée dans vos cheveux. Longtemps, nous avons cru et enseigné aux enfants que cette électricité était générée par des frictions, mais des scientifiques de Schwarzkopf ont découvert que ces électrons étaient en réalité générés par notre cerveau, le ballon de baudruche ne serait qu'un élément attirant cette électricité (donc, attirant vos cheveux qui la contiennent).
Mais alors : comment notre cerveau est-il capable de générer cette électricité ? Tout ceci est en réalité plutôt simple, même s'il y a encore quelques zones d'ombres. En fait, l'acétylcholine, qui contrôle la vitesse à laquelle l’énergie est utilisée par l’organisme, transforme les lipides en électricité.
Ces lipides, se retrouvent notamment dans le poisson cru, et des équipes sociologues sont arrivés à la conclusion que nos choix de coupe de cheveux non pas dans la forme, mais dans la longueur) n'étaient pas uniquement influencés par la mode et l'esthétique, mais aussi par nos besoins de générer cette électricité stockée dans notre chevelure, vitale afin de transmettre les informations nerveuses.
C'est pour cela que la majorité des japonais et des japonaises garderaient les cheveux courts ou mi-longs, d'après les observations de Frédéric Lenoir, sociologue français. Il ajoute : « Nous pouvons voir que dans certaines cultures où le poisson est présent, les cheveux on tendance à raccourcir. À l'inverse, dans d'autres cultures, comme par exemple chez les fans de heavy-metal - qui ont une nourriture plutôt constituée de viande rouge - les cheveux se rallongent. Pour palier à ce manque de lipide, ils doivent se laisser poussez les cheveux. Bien sur, beaucoup d'autres critères rentrent en jeu, que ce soit simplement sur la taille des cheveux, qui n'est pas seulement influencée que par le taux de lipides dans la nutrition, ou pour le taux d’électricité dans les cheveux, qui, d'après mes collègues scientifiques, ne sont pas non plus influencé uniquement par les lipides. »
Nous en savons malheureusement encore peu sur les possibles éléments influant sur la production d’électricité formée dans notre lobe occipital.
Cependant, il est avéré que les personnes maintenant des cheveux longs - ce qui renforce fortement la production - seraient enclins à avoir de meilleurs réflexes, une plus grande concentration, et donc de meilleures notes à l'école, entre autres. Mais, deux personnes produisant une électricité qui ne serait pas sur la même longueur d'ondes auraient tendance à ne pas s'entendre. C'est pourquoi il n'est pas rare de voir de jeunes filles se disputer inutilement, ou des profs renier injustement des élèves aux cheveux longs, puisque plus le taux de magnétisme contraire est fort, moins... le courant passe !