Propriétaire de fermes bovine en furie, le prix de la bouse dégringole

05-10-24 03:07:19
Propriétaire de fermes bovine en furie, le prix de la bouse dégringole

Depuis maintenant plus de deux mois que les indices boursiers des différents grades de bouses bovines sont en chutes libre. Cette denrée, que l'on ne peut qualifier de rare et à laquelle on trouve depuis les dernières années de plus en plus d'utilités tel que combustible naturel, isolation de maison écologique ou encore en produits modifié comme de l'huile capillaire pour hipster et bien d'autre, ne cesse de voir son prix par tonne chuter. Cette dégringolade affecte plusieurs entreprises de détails et de distribution, nouvellement créé pour répondre à l'enthousiasme grandissant de ce que l'on appelait encore il y a quelques semaine, l'or brun. Ceci est sans compter le profit amputé des propriétaire de cheptel.

''C'est terrible, depuis que cet inconscient fait des apparitions publiques de plus en plus fréquemment, j'ai vu mon profit fondre, puis les dettes s'accumuler. À chaque fois qu'il y a locution, les indices boursier chutent d'un demi pour-cent jusqu'à trois pour-cent!''

En effet, c'est que tout ce casse-tête économique merdique, est causé par une seule personne : Donald Trump. Depuis que le coloré et volatile personnage est dans la course à l'investiture républicaine, le marché bousier, appelé BSX(BullShitXport) aux États-Unis, se retrouve avec un surplus de merde invendu qui continu de croître exponentiellement. Interrogé sur le problème, un analyste financier expose ce qui cause ce surplus : ''On pensait que seuls les bovins pouvaient créer de la bouse de qualité. Le marché, composé des conglomérats de production/distribution/détail, équilibrait le marché pour que la croissance du stock de matière, ne dépasse la demande que d'environ cinq a six pour-cent. Depuis les allocutions publiques de Donald Trump, le surstock dépasse maintenant environ neuf-cents pour-cent. tout ceci étant attribuable au débit de merde sortant de la bouche du candidat.'' et celui-ci d'ajouter pour conclure ''Si rien n'est fait, c'est un marché complet qui est condamné. Au début on disait que l'équivalent d'environ trente à cinquante tonnes de bullshit sortait de la bouche du républicain par discours, maintenant que la campagne avance, ces chiffres sont multipliés par dix avec environs trois-cents à cinq-cents tonnes de bullshit par apparitions publiques. C'est un désastre.''

Pour l'instant, l'espoir est la seule chose vers laquelle les bénificiaires du marché peuvent se tourner.