Les tourments n’épargnent pas les immortels ! A peine intronisé au sein de la prestigieuse Académie Française, le philosophe controversé Alain Finkielkraut est déjà la cible de rumeur visant à contester la légitimité de son intégration au rang d’Académicien.
Plébiscité par l’académicien Pierre Nora, Alain Finkielkraut aurait, selon des sources usé de méthodes peu scrupuleuses pour faire pression sur les membres de la coupole afin de faciliter son élection, sur fond d’une prise de contrôle ; c’est en tout cas ce qu’il se dit dans les couloirs de l’assemblée. Un complot judéo-maçonnique viserait donc l’Académie française ?
Force est de constater que Pierre Nora ne se retranche pas face aux caméras :
« Alain a été élu non pas parce qu’il est juif, mais parce qu’il est bien le symbole vivant de la souffrance qu’a pu vivre l’ensemble des juifs en Europe pendant la seconde guerre mondiale. Il montre qu’aujourd’hui, les citoyens de confession juive sont largement au-dessus du lot et présentent toutes les compétences requises pour exercer de telle fonction. Il faut reconnaître qu’il aurait été antisémite de refuser à Alain l’avènement au fauteuil 21. C’est ce que nous avons expliqué aux Immortels, mais aussi à l’ensemble du gouvernement par la voix d’Anne (Pierre Nora étant le nouveau compagnon d’Anne Sinclair) et de Dominique (ndrl Strauss-Kahn). »
Manuel Valls aurait en effet soutenu activement la candidature d’Alain Finkielkraut à plusieurs reprises et en aurait fait une priorité personnelle selon certains proches à Matignon. Il aurait à ce titre reçu Stephanie Nicot et Dominique Ganaye, cadres du mouvement LGBT en France pour apporter leur soutien à cette prise de contrôle. Cependant, un vent de révolte semblerait faire surface puisque des visages phare de l’Académie ont déjà menacé de rendre leur complet et leur épée si tout cela viendrait à être confirmé, à l’image d’Erik Orsenna, Alain Decaux ou encore Jean D’Ormession. Ce dernier déclarant :
« Il n’est pas normal, à mon sens et selon ma sensibilité qui m’est propre, que l’Académie française soit, de près ou de loin, mêlée ou contrôler par des pressions extérieures sur fond de religion ou d’orientation sexuelle. Que ces gens s’amusent ou se faire plaisir avec leur propre langue comme cela leur chante, cela ne me regardant aucunement ! Mais qu’il laisse celle de la France en paix et en dehors de ces débats stériles. »
L’affaire est donc à suivre, et beaucoup espère qu’elle ne sera pas « immortelle » !