Le Premier ministre libéral Philippe Couillard refuse la démission de sa ministre de la diversion fasciste Rita de Santis après son appel au meurtre de québécois de souche : « Toute personne [...] comme elle [...] devrait être tuée, massacrée, jetée je ne sais pas où. » en faisant référence au fait identitaire que les professeurs étaient majoritairement à son époque une méchante canadienne-française.
La nouvelle a fait le tour du monde et le secrétaire général de l’Onu, Ban Ti-moon, a annoncé la création du Tribunal Russell suite aux preuves qui démontrent l’intensification de la rhétorique raciste et l’incitation à la violence chez les libéraux québécois mais aussi canadiens et que cette ligne de conduite se rend maintenant jusque dans certains ministères comme les transports du ministre Poéti, lui aussi italien comme Mme Santis, et ancien policier de la SQ.
Ce refus de Québec a poussé le Premier Ministre français Manuel Valls a annoncer sa venue en juin pour tenter de faire entendre raison à notre premier ministre avant qu’il ne se radicalise un peu plus profondément dans le génocide et le nazisme comme l’a fait la semaine dernière notre Justin Trudeau national, lui aussi libéral...
Cette radicalisation de crime de guerre au Québec et au Canada est sans rappeler l'aboutissement du meurtre par persécution après 15 année de torture intensive des autorités incluant l'utilisation de la technologie Mr Big contre le célèbre Patriote québécois Martin Tremblay le 19 mai dernier.
Nous avons tenté d'obtenir la réaction du chef par intérim en remplacement de PKPQ mais il est introuvable tout comme ses homologues des clubs écoles libéraux comme QS et la CAQ et ce même après une question direct de la ministre Maltais : "Quelqu'un chez QS peut-il nous dire s'ils sont d'accord avec la demande de retrait du PL59 sur discours haineux ?".