C'est la tourmente dans le monde des affaires depuis l'annonce de la nouvelle. Alors qu'il décriait la perte de grandes entreprises québécoises, comme Rona et St-Hubert, à la faveur d'intérêts étrangers, Monsieur Péladeau se départirait de son portefeuille d'actions Québecor pour les céder à des investisseurs américains. Le premier ministre Couillard n'a pas tardé à sauter sur la nouvelle pour souligner le manque de rectitude des différents chefs du parti québécois.