Jeudi dernier, des chercheurs français du CNRS de Grenoble en collaboration avec des spécialistes de la propulsion magnétique parmi les plus illustres ont découvert par hasard une technologie digne d'un scénario de science-fiction.
C'est en voulant mesurer la résistance atomique d'une molécule d'hydrogène soumis à un fort champ magnétique que ces chercheurs ont mis à jour une technologie jusque-là inconnue.
Ils ont alors suspendu l'objet de leurs recherches initiales pour l'orienter vers cette nouvelle découverte.
C'est en l'associant à la MHD (magnétohydrodynamique) et à la fusion froide que les chercheurs sont arrivés à créer un procédé de déplacement de matière à la vitesse de la lumière et même à la dépasser, et ce, dans la plus totale autonomie énergétique.
De plus, les caractéristiques de cette technologie lui confèrent des propriétés antigravitationnelles dont on imagine déjà les nombreuses applications.
La phase de test la plus significative s'est déroulée durant 48H sur le site de Grenoble. Elle mettait en œuvre un module de la taille d'une boite de sardine sur une distance de 12km.
Les mesures effectuées se sont révélées sans équivoque : "On a atteint la vitesse de la lumière" a déclaré le chargé de communication du CNRS. Cette découverte a fait l'effet d'un tsunami au sein de la communauté scientifique qui voit là une avancée fulgurante dans l'évolution humaine, peut-être même la plus grande découverte de tous les temps.
Certains optimistes gagent même que nous pourrions d'ici 5 ans utiliser cette technologie grandeur nature pour transporter des objets et même des êtres humains d'un point A à un point B quasi instantanément.
La NASA a fait savoir qu'elle manifestait un intérêt majeur pour cette découverte et y voit là le moyen de raccourcir les vols spatiaux. Ainsi selon ses derniers calculs, si on prend une moyenne de 100 millions de kilomètres pour la distance entre les deux astres et en considérant que la vitesse de la lumière est de 300 000km/sec, nous serions capables d'atteindre Mars en seulement 5mn et 30sec.
Ça laisse rêveur.
Stéphane N.