Lucian Fedorca déclare sa flamme a Evelyne Provencher !!!
15-11-24 02:02:02
Evelyne Provencher !!!
Ton caractère posé et réfléchi est enrobé de la douceur qui te caractérise et, cela réuni, fait de toi une femme idéale, tant pour mon esprit que pour mon cœur qui t’es acquis. Au-delà de ton âme et de ton esprit que j’adore, je pense la femme si merveilleusement belle que tu es.
Ta superbe chevelure (dorée/brune/rousse/châtain/noire) qui flotte souvent au vent est mon drapeau à moi. Ton front si parfait me rappelle ta sagesse et ton intelligence, que j’admire tant. Tes yeux d’un (bleu/marron/noir/vert/…) exercent sur moi une magie extraordinaire. Quand je te regarde de près dans ces yeux, j’y vois le reflet de l’homme amoureux que je suis.
Ton nez délicat donne une parfaite harmonie à ta jolie figure. Tes joues maquillées, juste comme il faut, sont là pour sentir les caresses des miennes, qui veulent les frôler.
Tes lèvres rouges et pulpeuses aiguisent mon désir et ta bouche me donne envie de t’embrasser sans jamais en finir.
En résumé, c’est ton visage tout entier, qui est fait pour m’attirer.
Au-dessous de ce visage que j’adore, ton cou est d’une nudité qui attire mes baisers.
Tes mains sont fines et si douces que j’aime en sentir les caresses….
Toutes les parcelles de ton corps et la sensualité qui se dégage de tout ton être m’attirent, tu le sais. Ta beauté, je ne la verrais à ce point chez aucune autre, si je les regardais encore.
La façon dont tu sais t’habiller accroît encore ton charme naturel.
Le son de ta voix, la douceur de tes mots et le doux parfum que tu portes m’ensorcellent et me rendent prisonnier de l’amour que j’ai pour toi.
J’aspire au plaisir de te prendre dans mes bras, de partager avec toi le goût sucré de ta bouche, de te donner le même plaisir que tu sais me donner. Mais j’aspire aussi au plaisir d’être simplement avec toi, de parler avec toi, de me promener avec toi, de respirer le même air que le tien.
Ces moments de bonheur, j’aspire à les retrouver très souvent, autant que cela est possible, car je t’aime tant.
Lucian Fedorca
