La taxe sur les ukulélés des particuliers entrera en vigueur dès 2017. Tous les ukulélé seront taxés à hauteur de 200 euros par an, afin de combler le manque à gagner des producteurs de musique et d'antidépresseurs.
L'Etat a calculé que les particuliers possédant un ukulélé, achetaient moins de musique et de médicaments, engendrant un manque à gagner significatif pour lui et pour les producteurs professionnels.
La collecte de la taxe se fera par le biais de la fiche d'imposition sur la base d'une déclaration sur l'honneur dans un premier temps. Le gouvernement établira ensuite une estimation de l'usage de l'instrument en fonction de sa taille, de l'essence utilisée ou du type de strum employé.
Les clubs de ukulélés et les groupes ne sont pas concernés par la taxe avant 2019. Cette taxe est le fruit d'une volonté de l'union européenne de limiter l'autonomie des particuliers en matière de musique et de joie de vivre. La Belgique étudie également l'adoption de cette taxe sur les ukulélé à hauteur de 5 euros pour les sopranos, 10 euros pour les concerts et 15 euros pour les ténors.