L'enseignante Magali FONT décide de prendre de gros risques

14-11-24 11:56:17
L'enseignante Magali FONT décide de prendre de gros risques

Magali avait pourtant tout pour faire des choix responsables : un emploi, une famille aimante, un joli sourire. Mais ce matin-là, elle choisit une jolie culotte en dentelle de Aubade, dans des tons pastels. Un bas de sous-vêtement qui risque maintenant sa vie au côté de l’entrejambe de cette femme. “Ca commence comme ça et ça finit par mettre une jean slim alors qu’on a une mycose » a commenté Maryline, une amie proche, dépitée.
A noter que ce genre de façons d’agir entraînerait des troubles sociétaux majeurs, selon Pierre Blanchard, expert en règles et autres choses qu’il ne vit pas mais sur lequelles il a plein de conseils. Le collectif Détruisons tout surtout si c’est un bout de soie payé 70€ a quant à lui salué l’acte de Magali, « une attitude qui remet enfin en cause les classes sociales et l’enjeu de la laïcité du sang".
Une fondation pour des règles qui ne tâchent pas
La principale intéressée s’est expliquée : “On ne sait jamais quand elles vont arriver exactement ; et puis je m’en fiche je ne passe pas des heures à choisir mes culottes le matin, je prends celle qui vient ou me donne envie. » Une réaction qualifiée d’hypocrite, et même d’”irresponsable” par de nombreuses personnalités politiques. “Elle va tâcher ses sous-vêtements, elle va tâcher mes bus… On touche du doigt les limites de notre système vestimentaire.” confiait Emmanuel Macron. “Mettre une culotte alors qu’on va se vider de son sang ? Et pourquoi pas se voiler aussi ? ” a quant à lui déclaré Christian Estrosi.
Un acte qui réveille un projet en chantier sous Sarkozy, qui est une solution proposée par plusieurs mouvances politiques : la “fondation pour des règles qui ne tâchent pas”. En attendant, notre enseignante devrait avoir assez mal au ventre pour oublier qu’elle va avoir besoin de beaucoup de détachant.