Donald Trump abroge les Droits internationaux de l'Homme et de l'Enfant.

15-11-24 03:00:25
Donald Trump abroge les Droits internationaux de l'Homme et de l'Enfant.

Depuis son investiture, le 45 ième président des États-Unis d'Amérique n'a cessé de signer des décrets réformants des mesures qui selon lui : - "Sont des horreurs commises par des gens plus soucieux de l'humain que de l'économie."

C'est donc dans l'optique de lier ses promesses électorales à des actes que Donald Trump à signer ces derniers jours, des décrets dont un annulant l'Obama Care, mesure phare de l'ancien Président du même nom, garantissant une accessibilité aux soins medicaux à des millions d'Américains dans la misère, puis un autre décret supprimant les restrictions des industries polluantes afin déclare-t-il sur Twitter : "de permettre une plus grosse production industrielle sans se soucier de l'environnement qu'admirent tant ces attardés d'écolo, qu'est ce qu'on en a a foutre de la banquise et des ours ?!"

C'est ensuite par soucis de promouvoir au maximum la croissance économique des États-Unis, que le nouveau Président vient ce matin de signer un décret annulant les droits internationaux de l'Homme et de l'Enfant. Cette nouvelle mesure de la Maison Blanche permettra, selon des experts, "de relancer l'économie et le plein emploi dans le monde bridé depuis longtemps par droits humains universels freinant drastiquement la production économique." Le secretaire du cabinet de Donald Trump, Guy Yom Fodrill, affirme : "Nous n'avons plus besoin dans une société moderne et à l'heure de L'überisation, de droits internationaux idéalistes et utopistes qui ne mènent qu'à des crises économique graves et des prétextes aux Hommes pour ne rien foutre de productif." De plus, "ouvrir les portes du travail en entreprise aux enfants à partir de 5 ans est un plus pour gagner en PIB sachant qu'ils n'ont plus besoin de passer leur enfance à l'école de nos jours car c'est gâcher de la mains d'oeuvres pas chère et docile les premières années."

Des mesures critiquées par des millions de citoyens auxquels Donald Trump répond : "Je vous demande pas votre avis, c'est comme ça, c'est tout."