Non aux microbraseries

Ma dernière chronique sur les bières d'antan versus les microbraseries à suscité pas mal de réactions négatives et c'était important pour moi de faire une petite mise au point en vous partagent une mésaventure que j'ai vécu. Après, promis j'arrête d'en parler à jamais!
 
Ça se passe dans passé pas si lointain, soit le mois de février 2017. Au départ, je n'avais pas mesuré que le fait de quitter Tétraultville pour le Plateau Mont-Royal aurait des conséquences aussi néfastes. Voir même catastrophiques. Nous venions de déménager en après-midi en Nouvelle France avec nos cochonneries et nous sommes passés à l'épicerie, la plus proche de notre nouveau toit, pour acheter de la bonne bière. Constatation macabre, aucun délicieux produit Molson, ni même Labatt. Seulement des "bebières" d'étranges, avec des noms et des couleurs bizarres que je connais pas. Dans quel monde je suis tombé, Maudit bordel Marie-Chantal...
 
Bon, je suis comme ça quand j'ai pas ma Coors Light, mais peut-être suige allé trop fort avec la petite adolescente de la caisse. C'est vrai que les mots salope, plotte et charrue sortaient de tous bords, tout côtés, mais à ma défense, j'avais soif. C'est pas la gougoune de gérant, qui voulait calmer mes insultes en me donnant sa Castor afin que je me calme, qui allait changer quelque chose. Oui j'ai complètement perdu les pédales en saccagent pas mal tous leurs stocks, fait que j'ai passé ma première nuit en prison.  

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