Un scientifique réussit l’exploit de faire renaître les dinosaures de leurs cendres.
18-11-24 07:47:50
Lundi en matinée, aux environs, de 10 heures (HAR) -0600 UTC, des paléontologues en coalition avec des chercheurs ont réussi avec succès à recréer en entièreté le code génétique d’un diplodocus. Cette avancée scientifique pourrait mener à la résurrection de ces animaux géants.
Installés depuis 3 ans dans un centre de recherche à quelques kilomètres du célèbre parc Dinosaur en Alberta où sont découvertes chaque année d’imposantes ossatures provenant de ces vertébrés, des chercheurs et des paléontologues ont tenté l’impossible en s’attaquant aux grands manques présents dans le code génétique de Docus.
« Moi et un groupe de chercheurs nous promenions dans le parc provincial lorsque nous sommes tombés sur un morceau d’ossements de diplodocus. Après quelques semaines de fouilles, nous avons enfin pu extraire ces os parfaitement conservés, ils possédaient même quelques morceaux de graisse. Nous étions tous abasourdis par cette découverte et avons filé directement au labo, nous confie François Therrien, paléontologue de renommée mondiale.»
Docus, connus par tous les adeptes de ces sauropsidés, est le fossile de dinosaure le mieux conservé découvert à ce jour.
Ce diplodocus pourrait bien être le premier dinosaure à voir le jour, selon l’un des principaux chercheurs du domaine:
« C’est une fantastique avancée dans le domaine de la génétique en ce qui concerne les dinosaures, tout particulièrement pour ceux de la famille des sauropodes! Je suis sûr que nous arriverons très bientôt à en produire un clone, affirme Conrad Hal Waddington, généticien et biologiste reconnu dans le domaine.»
Les chercheurs pensent que ce fameux spécimen pourrait voir le jour d’ici moins d’un an. Ne connaissant pas le temps de gestation nécessaire au diplodocus et n’ayant pas de congénères pouvant servir de porteur pour l’ovule fécondé, les chercheurs tenteront de l’implanter dans l’utérus d’une girafe, qui est l'animal terrestre s’y apparentant le plus.
"59 des gens ne lisent pas les articles qu'ils partagent (source : Radio-Canada, en ligne : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/788557/etude-twitter-media).
