L’OMS accepte, sous pression, d’instaurer une loi encourageant l’élimination des fœtus avec la trisomie 21.

18-11-24 05:43:22
L’OMS accepte, sous pression, d’instaurer une loi encourageant l’élimination des fœtus avec la trisomie 21.

Afin de calmer le mécontentement des contribuables face au coût de la population trisomique grandissante, l’Organisation mondiale de la Santé accepte d’instaurer une série de législation favorisant l’avortement de tout fœtus ayant été testé positif au test obligatoire de dépistage des maladies chromosomiques.

CECI EST UNE FAUSSE NOUVELLE. « Il nous a été évident que ces fœtus coutaient, au fil des années, une fortune aux contribuables, a expliqué le Dr Brian Skotko, un pédiatre et généticien travaillant à l'hôpital pour enfants de Boston. Ceux-ci souhaitent voir leurs taxes investies dans les infrastructures publiques et non dans une population « malade». De plus, cette alternative n'est pas aussi radicale qu'elle le paraît étant donné que, 9 femmes sur 10 avortent après avoir reçu un diagnostic prénatal indiquant la présence d’une trisomie 21 chez leur fœtus. Aujourd’hui, plus que jamais, le test prénatal obligatoire et les bénéfices – compensation monétaire et congés de travail supplémentaire– accordés aux femmes faisant le choix d’éliminer leur fœtus présentant une sévère anomalie sont nécessaires. Après tout, en tant que médecin, ce que l’on veut est une population en santé : il me semble impossible d’atteindre ce but en laissant naitre ces erreurs de la nature. Une société encourageant les anomalies est, selon moi, une société malade !»

Dr Brian Skotko n’est pas le seul à n’avoir que du bien à dire face aux nouvelles législations. L’OMS – l’organisme international ayant mis en place ces lois – a laissé entendre qu’il croit fermement dans un futur sans malade. « Vous voyez bien que le progrès l’impose, a proclamé Dr Ray Busuttil, président du conseil exécutif de l’OMS. Peu m’importe les droits humains, ce n’est pas nous, les contribuables, qui devrions avoir à payer pour une personne malade-né [sic]. Qui veut vivre dans une société où l’on est davantage préoccupé par le bien-être des «peu productifs »? En tout cas, pas moi ! »

Dr Ray Busuttil confia même, avant le départ de notre équipe de journalistes qu’il travaillait actuellement avec les gouvernements de 126 pays sur un projet de loi permettant aux gouvernements de ne plus avoir à payer les congés maladies ou les pensions de retraite. «Encore là, le système actuel dévoile ses failles. Pourquoi est-ce que les gens ne bossant [sic] pas devraient-ils avoir une paye. C’est injuste pour ceux qui sont en santé et qui travaillent à longueur d’année?»

59 des gens ne lisent pas les articles qu'ils partagent (source : Radio-Canada, en ligne : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/788557/etude-twitter-media)