Israël et la Palestine échangeront de territoire pour une journée
18-11-24 03:52:43
"CECI EST UNE FAUSSE NOUVELLE" Voyant les mesures de règlement du conflit israélo-palestinien échouer à maintes reprises, les dirigeants des deux états ont pris, jeudi avant-midi, une décision de dernier recours pour mettre fin aux affrontements. Les deux états échangeront de territoire pour une journée.
Dans l’objectif de réunifier les deux peuples, Donald Trump a suggéré deux solutions potentielles pour mettre fin aux conflits qui sévissent depuis plusieurs années, l’une d’elles étant d’ériger un mur de béton pour compléter les barrières actuelles entre ses deux états. Cette proposition ne faisant pas l’unanimité, les gouvernements des états concernés se sont tournés vers la seconde suggestion de M. Trump.
Mahmoud Abbas, président de la Palestine et Reuven Rivlin, président d’Israël se sont donc tournés vers la seconde proposition et se sont entendus sur un programme d’échange de territoire proposé par le nouveau président américain Donald Trump. « Je fais l’exercice quotidiennement, je tente de me mettre dans la peau des immigrant par exemple, et la compassion que j’éprouve lors de ces exercices me rend plus sensible » à expliqué M. Trump, qui fait depuis son investiture, preuve d’une ouverture d’esprit exceptionnelle. M. Rivlin à aussi expliqué que M. Abbas et lui-même sont conscients de la délicatesse du problème et qu’ils sont tous les deux optimistes face aux résultats de cet échange.
L’échange se fera donc le 30 avril prochain à partir de 8 heure pour se terminer la même journée à 20 heure. Plusieurs personnes se sont insurgées à l’annonce de cet échange, considérant que cet évènement pourrait avoir des répercussions violentes et que la logistique derrière ce projet est extrêmement complexe. Les détails de l’échange sont effectivement toujours à préciser, toutefois M. Trump considère que « ces détails sont minimes et il ne voit pas d’obstacle à la réalisation du projet ». Les présidents des deux états ont malheureusement refusé de commenter sur les réactions de leurs populations face à l’échange prévu. 59 des gens ne lisent pas les articles qu'ils partagent.
