Des films pornographiques purement québécois!
17-11-24 11:24:04
(CECI EST UNE FAUSSE NOUVELLE)
Afin de remédier à la dette du Québec, le Parti libéral a proposé cet après-midi de nationaliser la production de films pornographiques.
Le chef du Parti libéral, Philippe Couillard, a annoncé aujourd’hui un nouveau projet visant l’achat et la nationalisation des grands conglomérats de pornographie siégeant à Montréal. « Nous avons effectué plusieurs sondages sur la consommation pornographique au Québec et en sommes venus à la conclusion que la nationalisation de ce domaine serait très profitable pour le peuple québécois » a-t-il affirmé lors d’une entrevue avec notre journaliste Lisa Ann. Les sondages dont M. Couillard parle dénotent que plus de 80 des québécois âgés de 20 à 60 ans consomment de la pornographie, démontrant ainsi le potentiel de ce marché dans la province.
Le Parti libéral a réalisé la plus grande opération financière du Québec en nationalisant l’hydroélectricité en 1963, sous la gouverne de René Lévesque. Voyant tous les bénéfices de cette opération, le parti politique tente à nouveau le projet, mais cette fois-ci avec la production de films érotiques.
Face à cette nouvelle, le maire de Montréal se dit très enjoué: « La ville comporte déjà certains grands sièges tels que Mindgeek. Cette proposition me semble très prometteuse! » Mindgeek est un conglomérat montréalais détenteur de plusieurs grands sites web pornographiques comme PornHub, YouPorn et Brazzers. Selon l’analyste financier Gabriel Ducharme, les revenus d’affaires annuels du groupe d’entreprises montent à près de 800 000 millions de dollars canadiens. La nationalisation de ces sites serait donc largement avantageuse pour le gouvernement du Québec, qui souffre actuellement d’une dette de plus de 276 milliards de dollars.
Cependant, tout de suite après la diffusion de la nouvelle, plusieurs groupes féministes se sont opposés à la proposition du Parti libéral. Ils dénoncent que la femme est matérialisée dans ces productions et qu’il ne faut absolument pas encourager cela.
59 des gens ne lisent pas les articles qu'ils partagent (source : Radio-Canada, en ligne : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/788557/etude-twitter-media).
