Protéger la langue, une bonne fois pour toute!
17-11-24 05:22:50
C’est officiel: dès lundi le 26 juin 2017, suite à la Fête de la Saint-Jean Baptiste, les stations de radios anglophones du Québec seront abolies. Plusieurs explications appuient cette décision du Gouvernement du Québec, qui serait “une solution parmi plusieurs à la perte de la langue Française”, et certains experts affirment que cette horrible réalité est possible, et les Québécois en sont complètement responsables.
La musique porte une grande influence sur l’apprentissage de la langue chez les jeunes. C’est pourquoi une domination de la culture Anglophone pourrait provoquer l’assimilation des Québécois français, et doit être empêchée à tous prix. Une recherche récente des experts chez CKOI FM montre que 74 de la musique entendue sur des chaînes radios Québécoises, soit Anglophones ou Francophones, est de la musique anglaise, 23 est française, et le dernier 3 vient d’artistes qui ne semblent pas pouvoir décider leur langue.
La perte de la langue Française reste une des plus grandes craintes pour la majorité des Québécois. Le Centre de la Francophonie des Amériques éprouve de la panique réelle sur le sujet: “Nous sommes en état de crise complète. Qui sais quelle langue nous parlerons d’ici 2020.” (Stéphane Tremblay, Directeur en Chef du Département des Recueils de Données). Certains Québécois dédiés à la protection de la langue tentent créer un groupe, nommé l’Association Nordique Transcanadienne de l’Indépendance Absolue et Noble et de la Glorification de la Langue Originale (ANTIANGLO). Ce groupe suivrait de proche les actions et paroles du Conseil Supérieur de la Langue Française, qui a comme slogan “De bonnes choses arrivent quand on parle Français”, et le conseil aurait déjà un succès majeur: ils ont poussés le Ministre de la Culture et des Communications, responsable de la Protection et de la Promotion de la langue Française, Luc Fortin, à bannir les chaînes de radios Anglophones dès le 26 juin 2017. Monsieur Fortin s’exprime: “Le 24 juin, on fête la fête du Québec et de ses habitants, un peuple si glorieux; pourquoi ne pas fêter cela correctement et protéger la langue une bonne fois pour toute?”
