La révélation a fait l'effet d'un coup de tonnerre dans le milieu brochétique. Olivier Thirifays, président de la CENIIIL, aurait reçu d'importantes sommes d'argent pour gêner la candidature du Poulidor à la magistrature suprême. De plus, son épouse aurait bénéficié de passe-droits pour être rapidement embauchée.
L'auteur de ces malversations? Des sources officielles mais désireuses de garder l'anonymat évoquent sans ambages le nom du Compte Gagay, personnalité sulfureuse proche de la candidature du candidat rattachiste (Rassemblement Brochette LLNHC) Vincent Vincent. Gagay et Thirifays étant tous deux proches des milieux d'affaire bruxellois, la transaction se serait faite dans les salons feutrés d'ING.
Les protagonistes, contactés par nos soins, n'ont pas souhaiter réagir à ces accusations. Ils devront toutefois vraisemblablement changer leur fusil d'épaule puisqu'il se dit que les deux larrons devraient être entendus par l'ACCENIIIL (Autorité de Contrôle de la CENIIIL).