Le FBI et la GRC enquêtent conjointement sur un cas de terrorisme informatique à Melocheville
01-11-24 03:24:34
L'Actualité.co a appris aujourd'hui qu'une vaste enquête visant à neutraliser une attaque informatique de grande envergure contre le réseau Facebook est en cours présentement, impliquant les agence de sécurité des États-Unis et du Canada.
Yan MecDermott, de la GRC, précise que ce sont les représentants du réseau Facebook qui ont contacté ses collègues américains du FBI pour leur faire part que leurs routeurs de Facebook à Helsinky, la capitale de la Finlande, étaient sollicités au-delà de leur capacité de traitement depuis quelques jours.
Arto Paasilinna, de l'unité de traitement des données à Helsinki: "juste hier, nous avons quelques CPU qui ont grillé à cause de l'affluence de données inhabituelle. Cette attaque a entrainé un ralentissement significatif du flux de données non seulement sur Facebook mais aussi sur le réseau internet dans son ensemble."
M. MacDermott se dit conscient que si les attaques ne sont pas bientôt neutralisées, des pans entiers du réseau internet pourraient tomber en panne pour plusieurs jours et assure qu'en conséquence, ses enquêteurs travaillent sans relâche sur ce dossier.
"Pour le moment, nos soupçons se posent sur un seul individu, un résident de Melocheville dont nous tairons le nom pour ne pas nuire à l'enquête, qui, selon nos spécialistes en réseautage, partagerait un nombre incalculable de publications Facebook insignifiantes."
"Si ses motifs demeurent pour le moment nébuleux, selon la GRC, les conséquences sont potentiellement désastreuses pour l'humanité." s'insurge pour sa part Philippe Maheux, chef du département de la sécurité informatique chez Vidéotron,
"Il nous a été possible de visionner les preuves accumulées par les enquêteurs et sur l'une d'elle, on peut voir un petit chien blanc se rouler de façon suspecte dans le gazon près d'une haie de cèdre illégalement plantée."
Toujours selon M. Maheux, en attendant que l'attaque informatique soit terminée, les usagers de Facebook devront faire preuve de patience et éviter de surcharger les serveurs en limitant leurs propres publications. Nos journalistes resteront à l'affût de développements éventuels dans cette histoire.
