De l'hydroxyde d'oxonium détecté dans l'eau courante de millions d'habitants !

20-09-24 03:23:30
De l'hydroxyde d'oxonium détecté dans l'eau courante de millions d'habitants !

Suite au scandale du monoxyde de dihydrogène détecté dans la composition de plusieurs vaccins, mais aussi dans les bouteilles de nombreuses marques d'eau minérale, un laboratoire indépendant a mené une étude pour déterminer si le monoxyde de dihydrogène était également détecté dans l'eau courante.

Des analyses ont été menées à la sortie des robinets de plusieurs centaines de foyers répartis sur toute la France, et le résultat est accablant !

Outre du monoxyde de dihydrogène, les scientifiques ont également noté la présence en forte concentration d'hydroxyde d'oxonium !

C'est un responsable d'un centre de traitement de l'eau qui a permis aux scientifiques de comprendre l'origine de l'hydroxyde d'oxonium relevé dans l'eau courante.
"Cela se passe pendant l'étape de clarification de l'eau.", nous a-t-il expliqué. "Cette étape a pour objectif d'éliminer les MES, les Matières En Suspension, présentes dans l'eau. Malheureusement, cette étape est longue et coûteuse, et comme le gouvernement Macron a décidé de réduire notre budget, nous avons dû trouver une solution alternative. C'est pourquoi nous avons commencé à utiliser de l'acide oxhydrique, qui effectivement, une fois mélangé à l'eau, produit de l'hydroxyde d'oxonium. Cela nous a toutefois permis de réduire de 70 pourcents le budget nécessaire à l'étape de clarification, soit une baisse globale sur le traitement pour rendre l'eau potable d'environ 23 pourcents !"

Nous avons également contacté l'Agence de l'Eau, qui a réagi à ce sujet : "Il est vrai que l'introduction récente d'acide oxhydrique dans l'étape de clarification de l'eau a provoqué l'apparition d'hydroxyde d'oxonium dans l'eau courante. Toutefois, nos analyses ont démontré que la concentration de ce composé ne présente aucun risque de santé pour 99,6 pourcents de la population. Compte tenu des économies importantes que cela représente, nous avons estimé que si 0.4 pourcents de la population risquait d'avoir une légère diarrhée sans gravité de temps à autre, le jeu en valait la chandelle."

Ces affirmations n'ont pourtant pas rassurés les scientifiques, qui rappellent que : "nous avons effectué des analyses sur quelques centaines de robinets répartis en France, mais en tenant compte de la répartition géographique de nos analyses, c'est potentiellement plusieurs millions de foyers qui sont concernés !"

L'Agence de l'Eau a promis de se mettre en relation avec le laboratoire pour mettre en commun leurs résultats, afin de déterminer si il est nécessaire "de baisser éventuellement la quantité d'acide oxhydrique utilisé pour la clarification de l'eau", sans toutefois envisager la possibilité d'arrêter totalement l'usage de cet acide.