TESTÉ POUR VOUS. Armé de bonne volonté et d’un appareil photo, une journaliste du centre du Québec a testé pour une série de dildo le temps d’une fin de semaine. Voici ces impressions.
Cette expérience m’a comblé à plusieurs égards. D’un côté, je suis quelqu’un qui adore relever des défis, mais de l’autre, je manque parfois de confiance en mes propres capacités. J’ai été servi lorsque j’ai pu m’attaquer à un ‘’fist’’ un dildo que je croyais impossible à enfiler au premier abord. Une fois rendu dessus, notamment grâce aux conseils de l’experte de la boutique Erostique Simone j’ai été disons ‘’rempli de fierté.’’ Même si je n’ai pas été en mesure d’atteindre l’orgasme sur ce ‘’monstre’’ l’exercices m’a rendu fière, parce que je savais que j’avais été au bout de mes limites cette soirée-là. Le fist, ce sera peut-être pour la prochaine fois… Bref, un dildo intéressant et amusant que je recommande aux expertes
Je n’avais jamais essayé de dildo de ma sainte vie c’est donc un peu naïvement que j’ai suggéré à mes collègues d’aller tâter les objets. N’étant pas particulièrement à l’aise dans la boutique, j’en suis tout de même partie avec une série toute nouvelle et un certain goût pour cette aventure.
J’aimais beaucoup l’idée, mais les sex-shops m’horripilent : j’aime dépasser mes limites, mais je dois pouvoir m’amuser en même temps. J’ai découvert dans la boutique Erostique une nouvelle forme ‘’d’activité physique’’, à la fois ludique et très technique, qui me rejoint totalement. D’ailleurs, c’est beaucoup moins facile que ça en a l’air… Une fois les ‘’produits’’ testé, les bras tremblent et la sueur perlai à grosse goutte, mais le sentiment d’accomplissement était là. Les plaisirs se vivent très rapidement, et c’est satisfaisant.
Le lundi matin par contre, je la trouvais moins drôle… un retour gênant sur le sujet était inévitable au bureau.
La propriétaire de la boutique Erostique, Simone, est très sympathiques et ça se voit qu’elle est passionnée par ce qu’elle fait. Elle montre les bonnes façons de faire, encourage et rigole beaucoup.
C’est donc les mains irritées mais le cœur conquis que j’ai quitté la boutique, avec la ferme intention d’y retourner.
J’ai, à travers les années, pratiqué plusieurs activités érotiques en tous genres. À la suite de ma visite à la boutique Érostique, j’ai découvert un nouvel intérêt t et… réveillé quelques passions!
À la vue des dildo, je me suis dit que ça ne devait pas être si pire, car j’avais déjà testé quelque menu objet du genre lors ‘’d’activité solitaire’’. J’ai rapidement réalisé que ce ne serait pas «de la p’tite bière » et que les défi et produit sont totalement différent en 2018
Je me suis donc attaqué à un jouet plutôt facile, voire pour débutante. J’ai été vraiment surprise de constater que, malgré le bas niveau de vibration, j’ai dû puiser dans mes ressources physiques, mais aussi techniques. Le plaisir n’est pas le seul élément clef dans la réussite d’une montée orgasmique. Il faut savoir analyser les différents article et accessoires afin de pouvoir tirer le maximum de nos actions. Quand j’échouais, la propriétaire m’avait donné un conseil prend le temps de t’appliquer quelques ‘trucs’’ afin de parvenir à atteindre l’orgasme. J’ai aussi essayé la «slackone», un dildo retenu par deux cocos, sur laquelle on tente de faire comme les Keisha. J’ai quelque peu trouvé mon plaisir, rien de plus. Je n’ai même pas tenté une 2e fois, ce sera pour une autre fois.
Bref, une expérience amusante et accessible qui m’a permis de me dépasser et de voir, le lendemain, que je n’ai plus 20 ans!
(N.D.L.R. La journaliste a pris part à cette activité sur une base totalement volontaire).