L’affaire Jarlier, le dossier sensible qui balaie la polémique Benalla !
15-11-24 04:39:38
Notre affaire commence il y a trois semaines, lorsque des employés du label « Cantal » reçoivent une demande pour le moins étrange. En effet un certain « Guillaume Jarlier » demande des éco cup et des banderolles « Cantal » dans le cadre d’un week end de découverte de la région Cantal.
Cet événement regroupe selon lui, des activités culturelles, des sortis touristique visant à promouvoir les spécificités géologiques de la région et surtout une garden Paty.
L’événement se veut responsable et surtout écologique. A l’époque, rien n’interpelle le personnel qui sans plus attendre s’exécute et répond favorablement à la demande.
Une semaine plus tard alors que les derniers stylos sont regroupés dans un carton, la vérité éclate.
En effet plusieurs fonctionnaires auraient reçu des pressions de la part d’un vaste réseau Jarlier, parmis eux, la personnalité public n°1 de la région renommé pour les besoins de l’article - Papy Jarlier -. Pour beaucoup c’est le choc, la goutte qui fait déborder la pilule diront certains.
Un témoin raconte :
« - Papy Jarlier - pour moi c’était plus qu’un héritage, c’était la vraie vie, aujourd’hui je me sent trahi. »
Marine le Pen et son Rassemblement national dénonce ces mesures qu’elle juge antipatriotes et antirépublicaine (dans une interview elle ira même jusqu’à cataloguer l’affaire d’antipuce, ce qui n’a pas beaucoup de sens mais laisse mieux comprendre l’intensité de sa colère).
Rapidement l’affaire s’emballe, Le Monde, Libération, chacun y va de son commentaire et de son analyse, « Un scandale » pour certain, « Une trahison » pour d’autres … Rapidement l’affaire balaie la polémique autour du sujet Benalla. On parle alors du Jarlier Gates.
Face à l’ampleur de la polémique le président Macron sort de son silence et exprimera dans une interview privée que l’affaire nécessite certes une réaction de la part de l’exécutif mais qu’il est important pour la presse et le pays de ne pas surréagir, plus tard le locataire de l’Elysée confessera que cette affaire n’est pour lui qu’une tempête dans sot d’eau.
Il n’en faudra pas plus enflammer la communauté LGBT qui verras dans cette phrase une attaque personnelle ainsi qu’une critique dissimulée de la pratique de la sodomie.
Au jour d’aujourd’hui, le président ne s’est toujours pas exprimé concernant cette nouvelle polémique mais une chose est sure, le Jarlier Gates risque de devenir le principal feuilleton politique de cet été !
