Les CRS ont envoyé des gaz lacyromègnes aux gilets jaunes car ils ont échoué au concours X-ENS et ils ne méritent pas de vivre, d'après Emmanuel Macron
15-11-24 10:49:31
Un live direct a été partagé cette nuit du 23 au 24 novembre 2018 sur le groupe "France en Colère - Rassemblements en direct" où on pouvait voir des gaz lacrymogènes lancés par les CRS à Calais sur les manifestants gilets jaune ainsi que les dockers de Calais, sur les autoroutes A16 et A216, sur le réseau de la DIR Nord. Il y a eu des blessés sur place.
Mais cela a eu des conséquences aux alentours, un chien qui n'avait aucun rapport avec la manifestation a été tué asphyxié dans la commune concernée. De plus, deux enfants en bas âge ont dû être évacués de leur logement dû au gaz qui s'est infiltré dans les bouches d'aérations. Il y a eu des intoxications.
Beaucoup d'internautes ont noté cet événement et ont dénoncé cette action des CRS qui a été faite sans aucune raison d'après eux. A cause d'Emmanuel Macron, la grande majorité des informations liés à cet événement ont été supprimés de tous les réseaux sociaux, surtout Facebook et les vidéos en direct. D'après le groupe "France en Colère - Rassemblements en direct", l'auteur de la vidéo aurait été visité par les policiers plus tard, mais nous ne possédons aucune information supplémentaire à ce sujet.
Nous avons réussi très difficilement à interroger Emmanuel Macron à ce sujet, il dit, nous citons :
"J'ai ordonné au ministre de l'Intérieur que les CRS lancent des gaz lacrymogènes et font acte de violence contre tous ceux qui ne sont rien, ceux qui ont échoué au concours X-ENS et qui ne souhaitent pas passer ce concours, ceux qui sont fainéants, illettrés, cyniques, extrémistes etc. Ils ne méritent pas de vivre.
Cette action a été un succès à Calais car cela a touché toutes les personnes qui correspondent à ces catégories. Je n'y vois pas le problème. J'ai demandé que la même chose soit faite à Paris".
Pour l'instant, il n'y a eu que des blessés sur Paris et aux autres manifestations dans les autres villes. Les événements risquent de changer de tournure...
