L'étude, demandée par la cour du Roy, et relayée par les presses de sa majesté est formelle : le mouvement des sans culottes, réclamant moulte brioches avec colère et fracas a coûté au château 0.1 point de PIB.
Les cours de homard et de feuilles dorées se sont effondré de près de 10 pour cent, tandis les aiguiseurs de fourche ont fait fortune.
Le prélèvement du sel et de la gabelle en sont affectés.
Le Roy lui même a vu sa taille diminuer de près d'une tête.
La cour du château demande solennellement, par voie de presse royale, l'arrêt de ces manifestations, le retour au travail et le paiement des impôts. Nos banquets ne se remplissent pas seuls !