La vérité sur la déflagration des Alpes-Maritimes

18-11-24 04:24:08
La vérité sur la déflagration des Alpes-Maritimes

Vous en avez été témoins, le bruit d'une violente explosion a été entendu, vendredi 19 août, vers 12:25 dans le département des Alpes Maritimes.

Alors que les médias de masse ont rapidement relayé la version officielle fournie par le CODIS06 (Centre Opérationnel Départemental des Services d'Incendie et de Secours), d'autres sources se sont manifestées, dirigeant notre enquête 100 indépendante vers des conclusions tout autres.


• Pourquoi la théorie du mur du son ne tient-elle pas ?
Malgré la proximité de l'aéroport de Nice et ses 284 décollages toutes les heures, tous les avions ne sont pas conçus pour atteindre la vitesse supersonique de 1224km/h (soit 340m/s).

De nos jours, seuls les avions de chasse sont capables d'une telle prouesse, mais elle est soumise à de multiples autorisations.
"Un rafale qui doit passer le mur du son doit être à au moins 12.000 mètres du sol, et il doit être éloigné des grandes zones urbaines et des agglomérations", précise notre éditorialiste politique internationale Patrick Cause.

"Passer le mur du son est en principe interdit, sauf interception opérationnelle", ajoute Xavier Tyleltman, consultant aéronautique. Il faut donc obtenir une autorisation de l’armée de l’air pour intervenir dans des conditions d’urgence dans un premier temps, puis une deuxième autorisation pour passer le mur du son.

Contactée par nos soins, la base militaire aéronautique de Hyères -la plus proche du lieu de l'indident- a fermement démenti son implication, "tous [ses] pilotes étant à la pause RPB* à l'heure des faits."


• De mystérieux nuages
A la suite de la détonation, de nombreuses personnes nous ont contactés pour nous indiquer avoir vu plusieurs nuages suspects apparaitre, les décrivant comme "immenses, en forme de seringues invisibles, alors que le ciel était parfaitement bleu".
Notre source anonyme à l'AASQA Auvergne-Rhone-Alpes (Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air) nous a rapidement confirmé un taux anormalement élevé de C18H26ClN3O (soit de l'hydroxychloroquine) dans l'air, "se répandant très peu dangereusement, portée par le vent d'Est".


• Raoult dément
Immédiatement interpellé via son compte Twtitter @libertayetveritay, le professeur Didier Raoult se défend d'être à l'origine de cette opération :
"La 24ème vague de COVID frappe notre pays de plein fouet, et l'idée de protéger la population d'une manière aussi massive et évitant toute récalcitrance est géniale, j'aurais aimé en être l'auteur."


Notre enquête se poursuit, cet article sera remis à jour régulièrement. Partagez-le en masse avant que les autorités officielles ne le censurent !

(*Rosé-pan bagnat, ndlr)