L'ONU exprime sa « profonde inquiétude » sur la situation des M2 PCP à Paul Valery
15-11-24 09:32:42
Alors que les conditions de passation du partiel de bilan enfant prévu pour le mois de janvier prochain demeurent flous, les Nations Unis se disent très préoccupés par les derniers rapports sur l'évolution de la situation, selon un communiqué de l’ONU publié lundi 12 Décembre.
Plusieurs rapports en effet font état de violations des droits de l'étudiant et de violence symboliques croissantes depuis 2022 au sein du bâtiment C de l'université de Paul Valéry à Montpellier. Les mêmes sources révèlent également qu'un nombre conséquent de cours a été annulé sans qu'aucune proposition de rattrapage plausible soit faite aux étudiants qui tolèrent de moins en moins le mutisme et l'indifférence des responsables de la formation.
« Le cours du 12 décembre a été la goutte de trop, nous explique avec une émotion apparente M. représentante de la promotion, on a raté la moitié des cours de bilan enfant, et sachant que nous n'avons eu droit qu'à la moitié des cours de bilan enfant en M1, on commence à s'inquiéter sérieusement sur la qualité de notre formation. »
De son côté, J. la deuxième référente de la promotion ne cache pas non plus sa déception. « Nous ne sommes pas écoutés, on nous dit que ça va aller, que c'est de l'inquiétude. Ce n'est pas parce qu'il y a eu pire que nous devons accepter ça, déclare-t-elle avant d'ajouter, le pire c'est qu'on sent qu'on est pris pour des andouilles! »
Contacté par nos soins en la personne de Madame Launay puis de Madame Dessons, l'équipe pédagogique du Master s'est refusée pour le moment à tout commentaire sur la situation estimant qu'il était encore trop tôt pour pouvoir se prononcer.
Le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies a quant à lui fermement condamné les absences jugées arbitraires et irresponsables de Madame Lanaud et presse les responsables à entendre la colère des étudiants. Il invite cependant les étudiants au calme et à la retenue et appelle les deux parties à la désescalade et à engager un dialogue social en vue d'une résolution pacifique de la crise actuelle.
