C'est la décision qui a été adoptée par le groupe à la suite d'un événement pourtant bien pacifique.
Ce dimanche était en effet la deuxième édition d'un mouvement de vapoteurs, une flash-mob de la vape.
L'objectif était juste de se regrouper en un point de la ville, prendre des photos, et communiquer sur l’événement. Une façon comme une autre d'attirer l'attention, et peut être de mobiliser les consciences.
Le problème, c'est que le signe de ralliement était la couleur orange...
"La première fois, ça allait, ils n'étaient pas trop nombreux, mais là, 20 personnes qui bouchent toute la devanture et qui profitent du logo, c'est plus possible" s'est plaint un chef d'agence d'une des villes concernées par le phénomène.
"...et puis le orange fait partie intégrante, constitue même à lui seul le logo d' "orange", et est soumis à ce titre à la même protection. On peut dire que la couleur orange nous appartient, et nous attaquerons quiconque s'en servira dans une image publique sans autorisation", a soutenu la direction d' "Orange".
Il y a fort à parier qu'après les vapoteurs, les peintres auront de quoi s’inquiéter s'ils persistent sur les couchers de soleil !