Voila maintenant plusieurs années que les informations circulent en masse sur les réseaux sociaux facebook et twitter. Un sérieux progrès dans la communication qui comporte bien malheureusement des failles non négligeables: En effet, la majeure partie de ces infos est fausse, mais celles ci sont tellement partagées que leur impact sur l'opinion publique de la presse libre inquiète sévèrement les membres de l’assemblée nationale.
La plupart de ces fausses informations ne vise en général qu'a faire le Buzz ou faire mouiller les militants et autres p'tites pucelles desoeuvrees, tous frillants de sujets d’actualité chocs, pédophilie, torture animale, répression policière, racisme et autres phénomènes de société.
Cela leur servirait a rendre leur profil plus "vivant" et permettrait la mise en place de débat constructifs au niveau de leur contacts.
En voici quelques exemples:
"put1 les batar, ACAB"
"Ah mais c'est trop affreux, que fait la police?'
"Bi1 fait pour sa guel"
"on devrait leur faire la meme chose, j'suis outrée"
"Abuseee !"
"Mêêêêêhh..."
Les réseaux sociaux deviennent une véritable bergerie virtuelle.
Même si les diffuseurs et spectateurs de ces "fakes" s'offusquent, se sentent concernés, attristes, consternes, a la vue d'une quelconque photo truquée, et titre accrocheur les trois premières minutes ils finissent finalement par passer a autres chose quand leur mère leur demande de venir a table.
Malheureusement toutes ces fausses nouvelles errent par la suite sans aucun but précis sur la toile, ne cessant de la polluer un peu plus celle-ci de jour en jour. Saturant les banques en ligne, bourses et autres marches du grand capital.
23 Milliard de dollars ont été verses pour procéder a un grand nettoyage d'infos de merdes sur le web, par des "cyber-eboueurs" travaillant sans relâche dans un centre informatique encore tenu secret par la C.I.A.
De ce fait, au Etats-Unis, une vérification d’authenticité avec obligation de faire part des sources référentes a été mis en place, histoire de débusquer les FAUX journalistes.
Leur adresse IP est ensuite relevée, bloquée et risquent jusqu’à 15 d'emprisonnement puis 31 dollars d'amende.
Article 68. C paragrahe 3, psaume 7 du code pénien.
"Je ne sais même plus si ma mort est un fake ou pas" Annonça Charles Pasqua sur Twitter.
Car on ne distingue plus le faux du vrai, plus personne ne sait réellement a quoi se raccrocher, ni ou puiser l'information. Les anges de la télé réalité sont peut être l'avenir de la France... C'est un véritable malaise social qui s'installe dans notre chère société occidentale.
Éradiquons ensemble ce fléau.
DadA, pour le journal "The Bida"