Commencer ses phrases par "du coup" augmenterait le risque dégénérescence de la langue.
17-11-24 01:23:08
Selon l’INRTV (Institut Nationale de Recherche en Tics Verbaux), commencer systématiquement ses phrases par « du coup » serait, à terme, dangereux pour la Santé car il augmenterait de 74 pourcent le risque de pourrissement de la langue.
En effet une étude menée pendant 6 mois sur 150 sujets masculins et féminins de 18 à 39 ans, révèle que ce tic verbal, très en vogue notamment en milieu urbain, engendrerait progressivement une dégénérescence maligne de l’œsophage pouvant aller, chez certains sujets féminins,jusqu’à un pourrissement avancé de la langue, voire la perte de molaires et de prémolaires.
A cette gravité médicale s’ajoute le plus souvent une inintelligibilité du fait des propos incohérents et souvent idiots et dépourvus de sens résultant de ce tic verbal.
En l’absence de traitement médicamenteux existant, l’Agence National du Médicament, après avoir été alertée par l’INRTV, a pris le sujet très au sérieux et a commandé en urgence une consultation auprès de l’Académie Française afin de trouver un moyen d’endiguer le phénomène.
Après avoir souligné que l’utilisation du fameux « du coup » n’était légitime que pour révéler une relation de cause à effet entre deux événements passés, cette dernière s’est immédiatement prononcée en émettant 2 solutions afin de stopper l’épidémie.
La première solution est ancestrale et consiste à tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler. De ce fait, les idées se mettent plus sereinement en place et la langue se muscle, favorisant aussi bien l’afflux sanguin que le renouvellement des cellules.
La deuxième, plus radicale, consiste à fermer purement et simplement sa gueule plutôt que de sortir une énième connerie commençant par un tic verbal à la mode.
L’INRTV devrait donc remettre un rapport complet dans les prochains jours au ministère de la Santé mais également au ministère de l’Education Nationale car le phénomène à également été constaté chez les jeunes qui s’expriment souvent par mimétisme.
Du coup, …affaire à suivre.
