Marine Le Pen l'a déclaré ce matin au micro de BFM. Son "parti n'est pas xénophobe et souhaite valoriser la diversité", "cette alliance doit permettre de lutter contre les intégrismes et sectarismes", "nourrir la rancœur de la colonisation ne doit pas être une finalité, tout comme les français qui écoute Zemmour et Dieudonné ne doivent pas s'arrêter à une vision impérialisme de la République." A l'Elysée, le porte-parole du gouvernement se félicite de cette volonté, mais s’inquiète des nombreuses barbouzeries et autres ingérences qui vont nécessairement découler d'un tel accord, cela pourrait aussi faire obstructions aux nombreux programmes humanitaires, d'éducation et de développement économiques qui sont la cible des extrêmes droites universalistes. La droite, qui aurait aimé bénéficier d'une tel aura unificatrice assure que si il y a des problèmes c'est plus le fait de la gauche dans 93 des cas et que l'extrême droite suprémasiste et nationaliste avait besoin de se trouver jusqu'à un certain point, et qu'un accord pour un grand front de droite est en cours. Seuls J.F. Bayrou et J.P. Chevenement semblent mal voir cette série de retournements drolatiques qui "n'apportent pas de réponse concrète" pour le premier et "favorisent une culture de l'identité non-conforme aux valeurs souverainistes" pour le second. Le premier geste sera d'intervenir au niveau du G8 pour que les E.U. déploient une force militaire d'invasion en Ukraine...