C'est hier en début d'après midi que 2 agents de la BAC ont failli commettre l'irréparable sur l'actuelle ministre de la justice. En effet en patrouille rue Jean Edmond sur les quais, l'équipage aperçoit un "groupe d'individus " occupé à recouvrir un mur de graffitis. Ils arrêtent immédiatement leur véhicule afin d'opérer à un contrôle d'identité et une interpellation des éventuelles majeurs mais les individus quittent précipitamment la scène de manière acrobatique. Ne reste sur place que la "menesue" plus âgée dont l'âge ne permet plus la fuite en mode yamakasi. Par contre elle a le verbe bien délié et clame haut et fort que son action à un but culturelle et ne peut tolérer cette ingérence de la police. Elle refuse de se soumettre au contrôle d'identité et les agents sont dans l'obligation de la menottes et d'appeler un véhicule en renfort pour l'amener au poste de police. C'est à l'arrivée de ce véhicule de la police nationale que l'identité du personnage est révélée : un des nouveaux arrivant reconnaît immédiatement Christine Taubira. A la décharge des agents de la BAC la garde des sceaux ne portait pas la tenue habituelle et il était difficile de la reconnaître en jogging et baskets. .. elle a immédiatement était remise en liberté et à pu reprendre son "travail social" sur le champs. L'histoire ne dit pas ce que représentaient les graffitis "culturels" ..