* Stupeur et enchantement :
"Je n'en reviens toujours pas, c'est l'aboutissement de toute ma vie".
Tels furent les propos émus d'un Gilles Corbiere venu en famille au musée Grévin de Paris pour la sortie officielle de sa statue, un monument imposant, un morceau d'anthologie à résonance européenne et mondiale. Le bulgare n'y croyait plus, mais les créateurs ont figé à jamais l'image de cette véritable légende vivante, laquelle a côtoyé les Beatles, les Stones et le Maréchal Tito.
* Un enfant de la balle
Très actif sur son compte officiel Facebook, Gilles Corbiere avait préalablement publié un article relatant l'arrivée dans le musée des œuvres représentant les champions de tennis auxquels il a toujours été très réceptif et sensible. Heureuse coïncidence, donc, pour celui qui quelques jours plus tard devait lui-même se rendre à Paris pour recevoir cet honneur fantastique, plus remarqué encore que la légion remise par le président de la république aux héros du Thalys.
Federer, Nadal, Sampras ou encore Agassi : les observateurs et nombreux lecteurs relevèrent que Gilles Corbiere avait fait aussi une allusion à Maria Sharapova, son flamant rose, elle aussi incluse dans les nouveautés d'août 2015. Bien sûr, certaines mauvaises langues répliquèrent en commentaire que notre bulgare un brin théâtral était plus célèbre pour la qualité de son pénis que pour celle de son niveau au tennis. Don't act.
* Une certaine idée du partage
Selon notre rédaction, Gilles Corbiere se trouve en ce moment même à une réception très huppée de la capitale où on lui octroie encore des honneurs relatifs à cette entrée somptueuse au musée Grévin. Sa femme, Nina, se remettrait doucement de cette vision difficile de l'oeuvre très travaillée qu'ont réalisé les artistes du musée, et s'accorderait un peu de repos à l'écart des réceptions "people" amenées à s'enchaîner jusqu'à la mi-septembre, dans plusieurs capitales européennes et même à New York où toute la famille est invitée.
* Le mystère dévoilé il y a trois jours
Plusieurs tabloïds ont repris ce fameux cliché de Gilles posant aux côtés de sa statue ... mais tout comme la représentation du révolutionnaire Marat assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday, c'est bel et bien une "statue en situation" qui rend éternelle la star bulgare via un des moments les plus forts et représentatifs de sa vie. A cet effet, une invitée-surprise (qui n'a d'ailleurs pas été conviée à la cérémonie officielle inauguratrice), fait figure de réponse provocante à ceux qui pensent encore à un Gilles ramolli. Marion Kluppel touche enfin à l'instant de gloire, un instant qui n'aura jamais de fin, puisqu'elle est statufiée elle aussi auprès de Gilles dans un modèle unique et très dévêtu, reprenant le cliché mondialement connu du "bulgare au rocher se tapant une allemande" (sic), une passade de son existence très provocatrice ayant inspiré trois générations au moins dans l'idée du partage sans limite "sexe, schleu and sun".
Dernière minute : nous apprenons que la famille de Marion a porté une "main courante", avant une possible plainte, gageons que cette "main tendue mais inattendue" fasse au moins sourire l'ami bulgare qui a tant de fois mis une main aux fesses à cette créature mi-ange mi-démon.
La Rédaction.