Contourner l'HADOPI, la seedbox est-elle la bonne solution? Notre avis !

17-11-24 01:45:08
Contourner l'HADOPI, la seedbox est-elle la bonne solution? Notre avis !

Pour contourner les dispositions d’HADOPI, il existe 3 méthodes :

- le direct download au travers de sites tels que RapidShare ;
- le téléchargement au travers d’un VPN
- la seedbox

La première option commence à sentir le pâté. La fermeture de MegaUpload en atteste. En plus, on n’y trouve pas forcément son bonheur.

La seconde – le VPN – est laborieuse à mettre en oeuvre, souvent coûteuse et pas si sécurisée que ça notamment si vous êtes en IPV6.

Reste donc la troisième option, la Seedbox. Ma préférée.

Une seedbox, c’est un serveur dédié à l’utilisation des outils d’échange en P2P.

Pour faire simple, ça permet d’utiliser bitorrent en mode déconnecté, de ne pas saturer sa bande passante à la maison et de récupérer en flux direct les fichiers seulement après qu’ils aient été chargés en totalité sur le serveur distant.
L'avantage, c'est que lorsque l'HADOPI fait une demande d'identification d'abonnés, "De nombreux bugs font surface", ajoute Nextinpact, (http://www.nextinpact.com/archive/60026-adresse-ip-hadopi-cnil-bugs.htm), "comme ces IP qui correspondent à autre chose qu'à des abonnés à des accès internet."
"Ce sont des adresses attachées à des serveurs d'hébergement, des services en ligne comme ceux fournis par OVH ou Dedibox", précise notre confrère.
L'inconvénient de cet système, c'est que de nombreux pays, notamment de l'Europe de l'est, sont confrontés à de nombreuses défaillances en matière d'exploitation des lignes internet et téléphoniques.
Les réseaux internet sont ralentis, et les abonnés voit leurs factures gonfler par leur opérateur pensant être responsable de ces téléchargements, comme cette agriculteur d'Europe de l'est, interrogé par nos confrères de Nextinpact, qui a reçu une facture de 8752 le mois dernier.