À cause du réchauffement de la planète causé par la déforestation de la forêt amazonienne, certaines parties du fleuve Amazone contiennent des courants tellement chauds qu'une tribu locale les Tatoucuis ont retrouvé dans leurs filets,pendant leur pèche journalière, une quantité impressionnante de pirarucus (poisson rouge en langue indienne) déjà bouillis par la chaleur intense de ces nouveaux courants marins.