Collaboration AFP.
Avec la venue des eaux souillées de Montréal suite au déversement volontaire de 8 milliards de litres d'eau non-traitée, la ville de Trois-Rivières, qui puise une partie de son eau potable dans le jadis majextueux fleuve Saint-Laurent, a déclaré ce matin que les tests de qualité de l'eau effectués à la sortie des stations de filtration était non-conforme aux normes minimales pour la consommation d'eau. "Ces stations sont normalement en mesure de traiter l'eau et de la rendre potable, puisque nous avons effectué des améliorations à notre système d'alimentation en eau potable au cours des dernières années, et ce sans devoir rejeter quelconque résidu dans le fleuve ainsi que dans la rivière Saint-Maurice." expliqua le maire ce matin. La firme Can-O-Lar a été mandatée pour résoudre la situation le plus rapidement possible.
Les secteurs de Saint-Louis de France ainsi qu'une partie du Cap-de-la-Madeleine sont pour le moment épargnés, puisque la majorité de l'alimentation en eau potable provient de puits et de sources souterraines. Les tests continuent d'être effectués fréquemment par contre car la toxicité des eaux de la ville de Montréal peut s'infiltrer dans les sols et ainsi contaminer tout le reste des nappes phréatiques contenuent dans le sol québécois.