Un couple de migrants gay, ouvre une boite à partouze en plein paris.

09-10-24 12:20:58
Un couple de migrants gay, ouvre une boite à partouze en plein paris.

C'est une histoire peu banale que l'on vient d'apprendre aujourd'hui. Des membres de la jaquette Egyptienne fraîchement arrivés dans le pays de voltaire seraient sur le point d'ouvrir un établissement spécialisé, afin d'accueillir les libertins du tout Paris. Situé dans le quartier de l’Opéra dans le centre-ouest de la ville entre les quartiers du Louvre et des Champs-Elysées. Aujourd'hui dimanche 27 décembre c'est tout de noir vêtu arborant fièrement la drapeau Egyptien que Mohamed .B et Mohamed .C on inaugurées leur nouveau club en compagnie d'une myriade d'hommes d'affaires arabes, en provenance des pays du golfes. Un bon moyen de se créer de nouveaux contacts pour le business nous confira l'un d'entre eux. Et surtout un pas de plus pour la liberté, et une bonne publicité pour le mouvement LGBT. Les deux propriétaires revendiquent également avoir eu des financements de la part de plusieurs mécènes français bien connu du grand publique, et très actif dans le milieu de la mode. Il faut donner leurs chances au nouveaux venus, et savoir faire preuve de tolérance, nous dira également à la sorti l'un d'eux. Les réfugier ne doivent pas être vu que comme des serviteurs et des parasites, ils doivent aussi savoir faire valoir leurs talents, et il faut que le monde puisse s'en apercevoir. Nous voulons que les homosexuels puissent représenter cette diaspora tout entière et nous voulons qu'ils portent d'une seule traite leur parole, et représente la totalité de la communauté. Il va s'en dire que beaucoup des ces migrants ont envie de s'intégrer, et parfois même plus que des français de souche. C'est comme ça qu'une bonne partie de la haute société française voient les choses. C'est pour ça aussi que beaucoup de gens aisées préfèrent investir dans des entreprises dirigés par des Syriens ou des Lybyens. Un pas de plus vers le multiculturalisme, vers la tolérance, et vers l'émancipation des peuples. C'est la dernière phrase que nous entendrons ce jour là.