Les plantations étaient particulièrement bichonnées par leur cultivateur quasi-expert. Tout avait été réuni pour que les petits pieds poussent à leur aise : l’humidité de l’air était contrôlée par un système électronique, de même que la température, la lumière. Pour éviter la propagation des odeurs prégnantes, le botaniste des paradis artificiels avait conçu une ventilation, efficace peut-être, mais alambiquée. Derrière ce véritable laboratoire de culture se trouvait un petit futé, un jeune homme, connu des forces de l’ordre, et que les policiers, initialement, comptaient entendre pour une affaire de vols. C’est comme ça que tout a commencé…